Je viens de parler à ma meilleure amie, comme tous les jours…

On était en train de discuter de nos souvenirs d’enfance, et de constater que nous avions chacune une expérience différente à ce sujet. J’ai beaucoup de souvenirs, depuis un très jeune âge, et elle ne se souvient de presque rien.

Et puis, nous nous sommes demandées à quel moment, ces « indices » du passé nous servent ou nous desservent. Pourquoi on se rappelle ou pas…

Et question finale, qu’est ce que ça nous apporte dans notre vie aujourd’hui ? Dans ce que nous traversons, ce que nous vivons… Dans les choix que nous faisons…

Bon, là tout de suite, nous n’avons pas la réponse, mais il semblerait que ce matin, nous étions connectées au lien entre le passé et le présent. A ce qui nous motive, nous donne du carburant, de l’envie, de la motivation.

Nous avons un projet ensemble, et on constate toutes les deux que nous avons tendance à procrastiner. Je lui disais que j’avais lu que la procrastination (wahoo, j’arrive enfin à prononcer ce mot que j’ai mis des années à intégrer, c’est dire le blocage) était un manque de confiance.

Aujourd’hui, nous avons décidé d’arrêter de procrastiner, car nous nous sentons très près du but. Vous avez d’ailleurs peut-être déjà vu ce dessin, deux personnages qui ont une pioche à la main pour creuser et tenter de trouver des diamants. Ils creusent chacun de leur côté, et l’un d’eux, dépité, arrête de creuser alors qu’on voit sur le dessin que s’il avait donné encore deux coups de pioche, il aurait eu des dizaines de diamants…

Très souvent, dans la vie, nous arrêtons en pensant que tout est plus facile, plus simple pour les autres, en se comparant, on arrête parce que le résultat tarde à venir ou que l’on imagine que les épreuves s’accumulent dans nos vies alors qu’elles ne font que nous pousser à aller encore plus loin.

Et vous, que faîtes-vous le plus souvent ? Où en est votre persévérance ?